• L’aluminium, où le trouve-t-on ?

    j'ai déjà abordé ce sujet, mais il est bon d'y revenir, quand je vois ces barquettes de nourritures chauffées avec de l'aluminium sur des barbecue et autres utilisations

    Dans mon super marché, j'en ai parlé au responsable, mais les barquettes à barbecue en alu sont toujours dans le rayon, à nous d'agir, faites svp , passez cette information , merci !

     

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    Résistant à l’oxydation, l'aluminium est le métal le plus abondant de la croûte terrestre.

    Il n’existe pas à l’état pur ; en effet, l’aluminium est extrait d’environ 270 minéraux, dont la bauxite (une roche) par exemple.

     

    Nous y sommes donc naturellement et quotidiennement exposés.

    De plus, l'aluminium est l’un des produits les plus utilisés dans l’industrie automobile ou aéronautique.

     

     

    Il est également courant de le retrouver dans les emballages alimentaires (boîtes de conserve, canettes, etc…) ou encore dans les produits électroménagers.

     

    Mais l’aluminium se retrouve aussi dans les produits cosmétiques, dans certains vaccins, dans les denrées alimentaires, notamment sous forme d’additif, et dans l’eau puisqu’ il est utilisé dans le traitement de cette dernière. Un constat pour le moins inquiétant quand on se penche sur certaines études.

     

    Des constats inquiétants...

     

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    L’aluminium a longtemps été considéré comme étant inoffensif pour l’homme en raison de sa très faible absorption intestinale par voie orale.

     

    Cependant, en 2000, le cohorte PAQUID1 révélait un risque de développer une démence ou la maladie d’Alzheimer en cas d’exposition à une eau contenant une certaine concentration d’aluminium.

     

    Ce risque serait 2,2 à 2,3 fois supérieur pour les personnes résidant dans des régions où la concentration en aluminium est supérieure à 0,1 mg/L. Or, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a fixé la concentration maximale autorisée à 0,2 mg/L d’eau2.

     

    Cette concentration est liée à la présence de sulfate d’aluminium, utilisé dans le processus d’assainissement de l’eau afin de la rendre potable3.

    Mais ce n’est pas le seul problème : l’eau n’est pas le seul vecteur d’exposition à l’aluminium.

     

    On sait aujourd’hui que l’alimentation en contient, notamment à cause des additifs alimentaires ou des emballages.

    Les risques d'être exposé à l'aluminium sont donc très importants !

    Sources :
    1. Cohorte publié par l’unité 330 de l’Inserm dans l’American Journal of Epidemiology. Le PAQUID est une étude française épidémiologique dont le but est d'étudier le vieillissement cérébral et fonctionnel des populations après 65 ans.
    2. Organisation Mondiale de la Santé (OMS), www.who.int
    3. Sénat, www.senat.fr

     

    L’aluminium dans les vaccins

     

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    A l’heure actuelle, les sels d’aluminium sont encore utilisés comme adjuvants (= substance administrée avec un antigène pour influer sur le système immunitaire) dans près de la moitié des vaccins.

     

    Bien que cette technique soit monnaie courante depuis plusieurs années, des études ont récemment prouvé que l’aluminium ne se dissolvait pas automatiquement dans les tissus.

     

    Par conséquent, la présence d’aluminium dans les vaccins serait responsable d’une maladie dégénérative identifiée en 1998 par le Pr Gherardi, la myofasciite à macrophages (MFM), qui engendrerait une fatigue chronique associés à des troubles musculaires, articulaires et cognitifs1.

     

    Cette nouvelle risque d’aggraver la méfiance croissante des populations face aux vaccins…

    Pour les animaux avec le rappel de vaccin obligatoire, voyez un vétérinaire qui injecte le rappel sans adjuvant, le mien le fait !

    Source :
    1. Association Santé Environnement France, www.asef-asso.fr

     

    L’aluminium dans les déodorants

     

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    Alors que le débat sur la toxicité des sels d’aluminium dans les déodorants semblait être clos, une étude menée par des chercheurs l’Université de Genève (Suisse) et financée par la fondation Meyer, relance le sujet.

     

    Elle met en évidence les « effets néfastes des sels d’aluminium (chlorhydrate d’aluminium et chlorure d’aluminium),

    présents dans les déodorants classiques, sur des cellules mammaires humaines in vitro » sans pour autant affirmer qu’ils seraient responsables de manière certaine du développement de cancer du sien.

    Or, près de 9 déodorants sur 10 contiennent des sels d’aluminium, et en sont parfois constitués à hauteur de 20%2,

    d’après l’Afssaps, qui recommande d’ailleurs d’astreindre la concentration d’aluminium à 0,6% dans les déodorants ou les antitranspirants et de limiter l’application de cosmétiques en contenant sur peau lésée afin de limiter au maximum l’absorption cutanée d'aluminium.

     

    La transpiration est quelque chose de naturel pour notre corps, il convient de ne pas la bloquer,

    certaines toxines sont éliminées de cette façon, notre corps se nettoie naturellement,

    mais nous pouvons utiliser certains déodorants.

    Sources :
    1. Service de communication de l’Université de Genève, www.unige.ch
    2. Rapport d’expertise de l’Afssaps (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) sur la réévaluation des risques de l’aluminium dans les cosmétiques.

     

    Comment éviter le contact avec l’aluminium ?

     

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    Dès 2003, l'InVS (Institut de veille sanitaire en France) déclarait déjà que « de nombreuses études montrent que l'aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l'homme ».

     

    Pourtant, l’aluminium continue de nous envahir quotidiennement.

    D’ un autre côté, Santé Canada et l'Agence canadienne d'inspection des aliments veillent à ce que les concentrations d'aluminium présentent dans des aliments ne mettent pas en danger les consommateurs.

     

    En attendant, il est possible de se préserver de certains contacts avec l’aluminium :

    -  Eviter d’acheter des plats préparés qui risquent de contenir de l’aluminium sous forme d’additif,    

        ou veiller à ne pas choisir des aliments dont les additifs portent l’appellation « E 173 »

     

       en Europe ou aluminium métallique « Ca » au Canada ;

    -  Ne pas cuisiner avec du papier aluminium et préférer les ustensiles de cuisine en bois ;

    - Utiliser des cosmétiques sans aluminium : de nombreuses gammes en proposent désormais.(Attention, la pierre d’alun, souvent présentée comme une alternative naturelle aux déodorants, contient de l’aluminium.) 

    Sources :
    1. Rapport de l’expertise collective InVS-Afssa-Afssaps,

    « Evaluation des risques sanitaires liés à l’exposition de la population française à l’aluminium », www.dangersalimentaires.com
    2. www.hc-sc.gc.ca

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