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Le potiron, votre allié antioxydant de l’automne
Le potiron, votre allié antioxydant de l’automne
Dès l’arrivée de l’automne, les cucurbitacées font leur retour sur les étals. Parmi elles, le potiron, un aliment peu calorique qui nous aide à faire le plein de vitamines A !
Potiron : la star vitaminée de l’automne !
En tout premier lieu, apprenez à distinguer le potiron de sa cousine la citrouille.
Là où la citrouille n’est que rondeur, le potiron est plus aplati et on lui voit des ondulations.
Sa couleur peut varier, souvent rouge orangé mais parfois vert foncé selon les variétés.
La chair est ferme, sucrée et présente un petit goût de châtaigne.
Elle est d’ailleurs plus délicate et plus savoureuse que celle de la citrouille, même si tout est affaire de goût finalement.
Un légume peu calorique…
Un potiron, c’est surtout beaucoup d’eau !
A l’image de la pastèque, du céleri ou du concombre, le légume est en effet majoritairement composé d’eau : quasiment95% pour le cucurbitacée, et 10 kcal pour 100g.
Très rassasiant, le potiron est souvent consommé sous forme de potage, même si vous pouvez aussi en faire des purées, des flans, des gratins, des tartes sucrée ou salées ou même de la confiture, des muffins, des soufflés…
…pour beaucoup de vitamines !
Ce qui fait sont intérêt est sa richesse :Couleur orangée oblige, le potiron est anti-oxydant ! Riche en caroténoïdes, il apporte ainsi 43% des AJR en bêta-carotène, transformée par le corps en vitamine A. Cette vitamine contribue à lutter contre le vieillissement cellulaire et participe à la protection contre certains cancers.
Le potiron contient aussi une quantité importante de vitamine B9, importante pour le système nerveux.
C’est aussi une bonne source en potassium, pour réguler le système nerveux
Comment cuisiner le potiron ?
Comme nous vous le disions, les façons d’incorporer le potiron dans la cuisine sont très nombreuses. Pour absorber au mieux bêta-carotène, il est conseillé de le consommer en purée, en limitant la quantité de matière grasse, mais ce n’est pas la seule solution.
Le frein principal est souvent la peau dure du potiron…
Une solution peut être d’acheter une ou plusieurs tranches – vérifiez alors qu’elles soient encore juteuses et n’attendez pas longtemps pour les consommer, afin qu’elles conservent leurs bienfaits.
Un potiron entier, lui, peut être conservé très longtemps,
jusqu’à plusieurs mois à l’abri des variations de température
et dans un endroit aéré.
La difficulté consiste effectivement à retirer la peau du potiron,
qui n’est pas comestible, contrairement à celle de son voisin le potimarron.
Vous pouvez néanmoins retirer la peau après cuisson,
si vous ne parvenez pas à l’éplucher avant.
Un petit plus avec ce lien:
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